Par Olivier Robillart
pour http://www.clubic.com
La police de l'Etat américain vient de confirmer avoir été victime d'un second hack de certains des comptes e-mails d'officiers. La semaine dernière, le groupement Lulzsec avait revendiqué s'être introduit plusieurs fois dans les systèmes de la police et avait publié 400 Mo de données appartenant aux services.
Les autorités d'Arizona examinent les activités d'un groupe baptisé « Antisec ». Ce dernier a posté sur le site de partage The Pirate Bay des documents appartenant aux services de police de l'Etat américain. Dans le dossier nommé « Chinga La migra », on y trouve des noms, adresses, numéros de téléphone, mots de passe mais également des numéros de sécurité sociale (véritable sésame aux Etats-Unis) ou encore des renseignements plus personnels sur des officiers.
Selon leurs revendications, le groupe de hackers chercherait à pointer du doigt certaines pratiques menées par les forces de police notamment à la frontière mexicaine. Antisec accuse formellement les autorités de s'échanger des e-mails à caractère raciste. Par contre, le mouvement n'a pas expliqué comment il était parvenu à acquérir ce type de données.
Toujours est-il que cette intrusion ressemble à une suite de l'attaque menée voilà une semaine à l'encontre des mêmes services. Les hackers avaient publié un fichier contenant 400 Mo de données sur des informations personnelles de policiers de l'Etat d'Arizona. Une fois encore, l'attaque avait été motivée afin de protester contre une loi sur l'immigration récemment votée dans l'Etat.
pour http://www.clubic.com
La police de l'Etat américain vient de confirmer avoir été victime d'un second hack de certains des comptes e-mails d'officiers. La semaine dernière, le groupement Lulzsec avait revendiqué s'être introduit plusieurs fois dans les systèmes de la police et avait publié 400 Mo de données appartenant aux services.
Les autorités d'Arizona examinent les activités d'un groupe baptisé « Antisec ». Ce dernier a posté sur le site de partage The Pirate Bay des documents appartenant aux services de police de l'Etat américain. Dans le dossier nommé « Chinga La migra », on y trouve des noms, adresses, numéros de téléphone, mots de passe mais également des numéros de sécurité sociale (véritable sésame aux Etats-Unis) ou encore des renseignements plus personnels sur des officiers.
Selon leurs revendications, le groupe de hackers chercherait à pointer du doigt certaines pratiques menées par les forces de police notamment à la frontière mexicaine. Antisec accuse formellement les autorités de s'échanger des e-mails à caractère raciste. Par contre, le mouvement n'a pas expliqué comment il était parvenu à acquérir ce type de données.
Toujours est-il que cette intrusion ressemble à une suite de l'attaque menée voilà une semaine à l'encontre des mêmes services. Les hackers avaient publié un fichier contenant 400 Mo de données sur des informations personnelles de policiers de l'Etat d'Arizona. Une fois encore, l'attaque avait été motivée afin de protester contre une loi sur l'immigration récemment votée dans l'Etat.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire