http://www.myspace.com/moriartylands
Origine du Groupe : France
Style : Alternative
Sortie : 2011
Pour http://liveweb.arte.tv
Il n’est pas si courant qu’un album devienne matière théâtrale. Désormais, il y a The Missing Room de Moriarty et les «souvenirs » (memories) tirés de ses récits et sous-récits par Marc Lainé. La
pièce « absente » (missing), est-elle dans le blanc délibéré qui divise l’album, un pli, un vertige, la chambre d’un écho absent, ou dans chacun des treize morceaux ? Marc Lainé reprend l’énigme
à son compte, en parcourt les plages dans ses pages, en adaptant, ou plutôt en adoptant, l’imaginaire de Moriarty. Il partage avec eux nombre de références culturelles anglo-saxonnes, populaires
planétaires, dans lesquelles le chiffre 13 est celui de l’horreur attendue, et la chambre d’hôtel anonyme son contenant d’évidence. Trois personnages (deux hommes et une femme) y distillent
l’amour et la mort en une combinatoire de treize histoires, où la scénographie, comme toujours chez Marc Lainé, joue un rôle premier. Murs, sols et rideaux sont les surfaces où vient se boucler
le sens, dans les dessins fantastiques live de Philippe Dupuy, dans les apparitions-disparitions de Moriarty, diables en boîte, à la fois in et off, en chair et en sons.
Artistes : Moriarty (chant, guitare, basse, batterie, harmonica) • Réalisateur : Sébastien Lefebvre • Mise en scène : Marc Lainé, assisté de Tünde Deak • Décors : Philippe Dupuy (dessins) •
Cadreurs : Olivier Audige, Thierry Auge, Olivier Cahn, Mariana Poole, Josepha Pelpel • Son : Jeremie Sananes • Production : ARTE France • Henri Leroi (lumières)
Il n’est pas si courant qu’un album devienne matière théâtrale. Désormais, il y a The Missing Room de Moriarty et les «souvenirs » (memories) tirés de ses récits et sous-récits par Marc Lainé. La
pièce « absente » (missing), est-elle dans le blanc délibéré qui divise l’album, un pli, un vertige, la chambre d’un écho absent, ou dans chacun des treize morceaux ? Marc Lainé reprend l’énigme
à son compte, en parcourt les plages dans ses pages, en adaptant, ou plutôt en adoptant, l’imaginaire de Moriarty. Il partage avec eux nombre de références culturelles anglo-saxonnes, populaires
planétaires, dans lesquelles le chiffre 13 est celui de l’horreur attendue, et la chambre d’hôtel anonyme son contenant d’évidence. Trois personnages (deux hommes et une femme) y distillent
l’amour et la mort en une combinatoire de treize histoires, où la scénographie, comme toujours chez Marc Lainé, joue un rôle premier. Murs, sols et rideaux sont les surfaces où vient se boucler
le sens, dans les dessins fantastiques live de Philippe Dupuy, dans les apparitions-disparitions de Moriarty, diables en boîte, à la fois in et off, en chair et en sons.
Artistes : Moriarty (chant, guitare, basse, batterie, harmonica) • Réalisateur : Sébastien Lefebvre • Mise en scène : Marc Lainé, assisté de Tünde Deak • Décors : Philippe Dupuy (dessins) •
Cadreurs : Olivier Audige, Thierry Auge, Olivier Cahn, Mariana Poole, Josepha Pelpel • Son : Jeremie Sananes • Production : ARTE France • Henri Leroi (lumières)
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